Scène 1 : Maéva/Jeanne
Maéva et Jeanne sont devant la machine à café.
Maéva : Tu sais que Mozart, il est mort en mangeant des côtes de porc !
Après un temps.
Maéva : C'est les côtes de porc qui l'on tué !
Jeanne : Ah ouais... Mozart, Mozart.
Maéva : Bah Mozart, Wolgang Amadeus Mozart. Ce jeunes si précoce, à trois ans il composait.
Jeanne : Mais sa m'étonne pas tiens !
Maéva : Bah pourquoi ?
Jeanne : Mangés des côtes de porc, à trois ans. Enfin tu crois que c'est de la nourriture pour un enfant en bas-âge, des côtes de porc, hein ! Ah non mais attend, et pourquoi des oselets de poulet pendant qu'on y est ? Mais même à mon chat j'en donnerai pas !
Après un temp.
Jeanne : Nan mais attend le pauvre gosses ! Mais mourir à trois ans, un enfant... si doué !
GENERIQUE DEBUT
Scène 2 : Hervé/Jean-Claude
Hervé a un café avec Jean-Claude à côtes de lui. Jean-Claude baille et Hervé regarde sa montre.
Hervé : Bon il faut y aller là ! A bah ouais.
Stanislas Privisevsky arrive par l'ascenseur.
Hervé (voyant Privisevsky) : Tiens il est là ton amie !
Jean-Claude (las) : Ah ! Monsieur Range-tes-ski, qu'est-ce qui vous ammène ?
Stanislas Privisevsky : Privisevsky, (en montrant un papier) dis donc vous pouvez m'expliquer à quoi vous joué Mr. Convenant ? C'est immonde, immonde !
Jean-Claude (prenant la feuille) : Bah quoi c'est pas signé hein !
Stanislas Privisevsky : Evidement que c'est pas signé, c'est censé être une lettre anonyme.
Jean-Claude : Oui, oui bah on est tout un tas à pas pouvoir vous blairer dans la tour, hein monsieur...
Hervé (rigolant) : Ah, ah, ah, ceci dit (lisant) : Ordure, retourne mangé des cailloux en pologne, c'est...
Jean-Claude (rigolant) : Ah c'est torché hein !
Hervé : C'est fendu ouais !
Les deux compères rigolent.
Scène 3 : Hervé/Jean-Claude/Privisevsky
Hervé : Oh s'est une blague, c'est pas...
Stanislas Privisevsky (souriant) : Mais je mène mon enquête.
Jean-Claude : Vas-y Derrick !
Hervé : Non non mais attention c'est pas facile à trouvé le corbeau, sa peut être long.
Stanislas Privisevsky : Ca dépend. Vous avez utilisez votre propre papier à en tête, il y a tout dessus, il manque que votre photo.
Hervé arrache la feuille des mains de Privisevsky.
Stanislas Privisevsky : Non seulement vous êtes un antipathique mais en plus vous êtes distrait, et je pèse mais mots.
Jean-Claude : Ouais bah alors... et moi sa vas bien aller dans ta geules celui la !
Hervé : Non non, Attend attend attend, je viens de penser à un truc, alors si c'est quelqu'un qu'essaye de, de de.... Non non Jean-Claude t'aurait pas été aussi stupide pour utiliser ton propre papier en tête ?
Jean-Claude : Mais bien sûr que non que c'est pas moi. Ca c'est quelqu'un qui veux nous monter l'un contre l'autre.
Stanislas Privisevsky : Mais c'est vrai que c'est plausible !
Hervé : Mais oui c'est plausible, ta cas subtiliser les papiers de Jean-Claude et voilà, essayer de créer un conflit, non non.
Stanislas Privisevsky : Oui peut-être, dites moi Mr. Convenant, les cailloux, manger des cailloux vous l'écrivez comment ?
Jean-Claude : Bah des cailloux c'est... C'est plurielle de cailloux hein, caillousse hein, avec un "s" comme tout le monde.
Stanislas Privisevsky : Bijoux, cailloux, genoux, hiboux, joujoux, poux. Cailloux sa prend un "x" au plurielle, mais vous niard comme vous êtes, vous l'écrivez avec un "s". Comme le mot corbeau.
Scène 4 : Hervé/Jean-Claude/Privisevsky
Jean-Claude est nez-à-nez avec Privisevsky, prêt à se battre. Hervé lit la lettre.
Jean-Claude : Oui c'est moi ! Oui c'est moi ce corbeau et, j'en pouvait plus que tu crève mais pneus, que tu pisse sur mes gentes tout les week-end, hein.
Stanislas Privisevsky : Légitime défense, represailles suite à un acte de vendalisme caractériser. Parce que mes rétroviseurs c'est vous j'en suis sûr.
Jean-Claude : Ouais, et les antennes aussi, ah ah ah !
Hervé : Vous êtes grotesque monsieur, vraiment.
Jean-Claude : Tu sais quoi tu vas mangé ma droite et ce soir tu vas chier tes dents !
Stanislas Privisevsky : Ouais, et moi je vais te faire latter le nez parce qu'il me plaît pas ton nez, il est vulgaire.
Jean-Claude : Ah ouais !
Stanislas Privisevsky : Comme le reste !
Jean-Claude : Ah ouais !
Stanislas Privisevsky : Tu vas payer pour mes rétro, t'entend, je suis ton homme, viens là !
Les deux se mettent en position de combat.
Hervé (souriant, allant vers eux) : Mais écouter voyons c'est grotesque.
Jean-Claude le cognent et Privisevsky l'envoi dans l'imprimante derrière eux. Les deux se battent.
Stanislas Privisevsky : Viens, viens là.
Jean-Claude : Houla la !
Stanislas Privisevsky : Viens je t'attend.
Hervé s'écroule par terre.
Jean-Claude : Hop, hop hop hop !
Privisevsky frappe dans le vide, Jean-Claude esquive et s'enfuit.
GENERIQUE FIN
Scène 5 : Hervé/Jean-Claude
Hervé est tout seul, il se touche la machoir. Jean-Claude sort des toilettes.
Jean-Claude : Il est partis ?
Hervé : Ouais il est partis. Dis-donc, spoutine il paye pas de mine, mais il y vas. T'aurais pu m'aider hein, pouris !
Jean-Claude : Mais je me suis claqué là, je pouvais plus lutter, ces les esquier au jambier qui ont lachés !
Hervé : Ouais ouais c'est pas le genre de cas regarde, Mr. Jambon, il ta laissé un petit mot, il manque d'humour : (lisant) Espèce de lache, je vais te mettre du sue dans ton reservoir, elle a chaupé le diabète ta voiture.
Jean-Claude : Ma bagniolle !
Jean-Claude court vers son bureau, paniqués.
Hervé (rigolant) : Bah sa va mieux les esquier au jambier ?
Jean-Claude : Ah oui mais pourquoi tu mis fait repenser, t'es con putain !
Hervé : Ouais, foireux !
FIN