Scène 1 : Fred/Maéva
Fred commande un café à côté de Maéva toute contente.
Maéva : C'était bien ! Cinq jours à Istanbul ! Au près de la boîte, ils se sont pas foutus de nous, hein !
Fred (énervé) : Ouais bof, côté relationnel c'était naze, et puis de toute façon il y a un de ses relachement dans les séminaire.
Maéva : Ah bon ? Bah j'ai rien remarqué.
Fred : Ah bah si, si je t'assure, attend. Il y avait un je m'en foutisme dans le groupe ! Tiens, cette année par exemple, j'ai passé presque deux nuit de suite sans... (elle grogne) En cinq ans de boîte c'est la première fois !
Maéva : Ah non moi j'ai rien remarqué !
Fred (en colère) : Oh, je suis à cran !
GENERIQUE DE DEBUT
Scène 2 : Hervé/Jean-Claude/Sylvain
Jean-Claude et Sylvain sont tout seul, ils sont tous les deux bronzés.
Jean-Claude : Fais voir ! (il touche la joue de Sylvain)
Sylvain : Ah ! Je me suis endormi à l'arrière du car.
Jean-Claude : Bah ouais je sais on t'avait oublié. Mais là sa... sa cicatrice là !
Sylvain : Ça tire un peu quand même.
Hervé arrive près de l'ascenseur, s'arrête.
Hervé : Eh les bronzés ! Pip pip !
Jean-Claude et Sylvain : Ouais !
Hervé arrive en courant vers eux, ils sont tous les trois content.s
Sylvain : Oh là là, là là Hervé !
Hervé : Alors la Turquie les chères melorians ? Qui c'est qui a donné l'idée à la direction ?
Sylvain : C'est Hervé !
Hervé : Alors !
Sylvain : Ah c'est top, Istanbul moi je voyait pas ça en Turquie.
Jean-Claude : Ah ouais ?
Sylvain : C'était super.
Jean-Claude : Ah et puis alors l'hotel, la bouffe, la piscine !
Sylvain : Mais oui !
Jean-Claude : Moi l'année prochaine je retourne avec le camping-car.
Hervé : Attend !
Jean-Claude : Et puis je ramène des tapis que je vais refourguer ici !
Sylvain : Nan mais attend t'es zinzin, c'est un coup à finir comme le type de Midnight Express là !
Jean-Claude : Mais oui mais toi, dès qui s'agit d'être heroique hein, il y a plus personne.
Hervé : Tiens en parlant de héro, bravo Jean-Claude quand même pour ton titre de meilleur vendeur de l'année ! Bravo non non, vraiment.
Sylvain : Ah oui !
Hervé : Ah ouais !
Jean-Claude : Ah bah les gars, attendez ça fait quinze ans que j'attends ça, comme un con j'avais oublié mon discour dans ma chambre d'hotel.
Sylvain : Oh sa se voyait, Jean-Claude, t'arrivais t'était blanc...
Jean-Claude : T'a gueule ! C'était le raquil qui passé pas à cause du kebab !
Hervé : Bon j'ai eu la direction au bout du fil, il mon dit qu'ils avaient une autre surprise pour toi, c'est pour cette après-midi !
Jean-Claude : Tu déconnes ?
Hervé : Nan je te jure.
Jean-Claude : Oh non bah vas-y dis !
Hervé et Jean-Claude s'en vont tous les deux ensemble.
Hervé : Ah bah non.
Jean-Claude : Dis moi, dis moi ! Ça serait quand même pas le chiote chimique de mes rêves pour le camping-car ?
Hervé : Aa !
Jean-Claude : Nan dis moi !
Sylvain est maintenant tout seul, il téléphone à la femme de Jean-Claude.
Sylvain : Allo ! Madame Jean-Claude Convenant ? Oui Sylvain à l'appareil, alors je suis un collègue de bureau de votre mari et voilà, ont a une petite surprise pour lui cet après-midi, je vous explique.
Scène 3 : Sylvain/La famille Convenant
Sylvain attend à la machine quand l'ascenseur s'ouvre.
Sylvain : Ah !
Véronique, Jason, Kévin et la petite dernière arrive à côté de Sylvain.
Véronique : Sylvain ?
Sylvain : Oui !
Véronique : Véronique Convenant !
Sylvain : Enchanté, alors bon, c'est super que vous soyez venus avec les enfants parce que, il en ait tellement fier de ses enfants !
Véronique : Bah eh, il sait pas ce qu'il y a à la maison, hein ! (elle embrasse sa main et propose à Sylvain) Vous en voulez ?
Sylvain : Nan nan merci.
Jean-Claude : Bon, et cette récompense c'est quoi ?
Hervé : Alors j'en sais rien, c'est un collègue qui a tout préparé ! Mais ce qu'on va faire c'est qu'on va se caché dans mon bureau. (à voix basse) Faudrait pas qu'on se fasse avoir.
Sylvain s'en va.
Véronique : Ah bon, bon alors les enfants heu, vous n'oubliez pas, quand papa reçoit son prix hein, vous savez ce que vous devez faire. Hein d'accord, allez, hop, Jason !
Véronique et les enfants s'en vont, mais Jason resta devant la machine.
Véronique (criant OFF) : Jason !
Jason : Putain !
Il s'en va dans la direction de sa mère et au passage il tape dans un mur.
Scène 4 : Hervé/Jean-Claude
Hervé et Jean-Claude sont seul. Une mallette est posé sur la table devant Hervé.
Jean-Claude : Qu'est-ce qui fout le président ?
Hervé : Oh bah là il viendra plus.
Jean-Claude : Il viendra plus ! Formidable ! Ca pour les départs en retraites de la compta, ça il vient bouffer des cacahuètes, mais pour récompensé le meilleur vendeur de la boîte heu whalou ! Fais chier, merde !
Hervé lui donne une petite tape dans le dos.
Hervé : Jean-Claude j'ai été demandé par le président ! Surprise, allez fixe !
Jean-Claude se met au garde à vous. Sylvain et les quatres Convenant viennent tout doucement, s'en faire de bruit devant l'ascenseur. Hervé ouvre la mallette et sort un papier.
Hervé (lisant) : "Jean-Claude, au nom de toute la boîte, je suis fier de te remettre cette récompense du plus chaud lapin du séminaire, Sept aventures sexuel avec partenaire différentes, officiellement reconnu et validé, et tout cela en cinq jours.
Hervé pose la feuille, il sort de la mallette une statue d'un pénis qu'il lui donne.
Hervé : Félicitation !
Jean-Claude prend sa statue et salue Hervé, les enfants de Jean-Claude applaudissent. Les deux complices sont surpris, Hervé reprend la récompense et la range.
Hervé : Dommage !
Hervé prend la mallette et s'en va. Véronique s'approche de Jean-Claude.
Véronique (triste) : Pauvre type !
Jean-Claude (à voix basse) : Mais non !
Véronique : Minable !
Jean-Claude : Bi-biche !
Véronique grogne et s'en va avec les enfants.
Véronique : Allez les enfants, ont y vas ! Jason !
Jason va voir son père en étant fier de lui.
Jason : Bravo, bravo papa !
Jean-Claude : Chut !
Jason rejoignat les autres dans l'ascenseur.
Véronique (dans l'ascenseur) : Eh crois moi ce soir on va en parler.
Jason fait des pouces à son père pour le félicité. L'ascenseur se ferma. Jean-Claude est maintenant tout seul.
Jean-Claude : Ça j'ai déjà été dans la merde mais là, ffff !
Scène 5 : Hervé/Jean-Claude
Jean-Claude est fatigué, il commande un café. Hervé sort des toillettes.
Hervé : Oh bah te v'là ? Alors ?
Jean-Claude : Bah alors, on s'est réconcilié sur l'oreiller ! Bon je te cache pas que j'ai passé un peu le reste de la nuit dans le jardin mais j'ai l'habitude hein ! Eh dis moi ? Il est ou le zob en or ?
Hervé : Dans mon bureau !
Jean-Claude : Eh ! Quinze ans de boîte que j'attendais ça hein !
Hervé (il n'en revient pas) : Alors respect la quand même !
Jean-Claude (content de lui) : Je vais l'emmener en clientèle !
FIN